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Posts Tagged ‘livre électronique’

Fnac: 40.000 livrels vendus en moins d’un an

Selon des informations publiées par le site Neteco.com, depuis l’ouverture de sa plateforme Internet de téléchargement de livres numériques en novembre 2008, la FNAC aurait vendu 40.000 livrels. la FNAC, qui revendique le titre de la plus grande librairie de France, admet que ces chiffres sont modestes mais ne remettent pas en question son désir de développer ce service.

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En plus du Reader de Sony, la FNAC va proposer le Cybook Opus à ses clients (notre photo)

Son catalogue de livrels compte désormais 30.000 titres provenant des plus grandes maisons d’éditions. Le FNAC indique également qu’elle a vendu 10.000 lecteurs électroniques de la marque Sony et qu’elle va élargir cette offre.  L’enseigne a en effet décidé de s’associer à Booken pour proposer à ses clients le Cybook Opus.

Verdict de nos lecteurs: les livres numériques coûtent trop cher

21 septembre 2009 5 commentaires

48% des lecteurs sondés considèrent qu’un livre numérique doit coûter 50 % moins cher qu’un livre papier. Encore une fois, on est encore loin de la réalité.

LivresNumLa polémique autour du prix d’un livrel risque de perdurer encore longtemps. Les résultats du sondage effectués auprès de nos lecteurs tout au long de la semaine dernière viendra sans nul doute l’alimenter. Force est de constater, à la lecture des résultats que je vais m’empresser de vous livrer, que le marché – une fois n’est pas coutume – ne semble pas réellement tenir compte des désidératas du consommateur.

La semaine dernière, notre précédent sondage sur le prix des lecteurs de livres électroniques démontraient déjà un certain décalage entre les attentes des consommateurs et les prix du marché.

Donc, à la question « quel est le juste prix d’un livre numérique », 48 % d’entre vous ont répondu qu’un livrel devrait coûter 50% moins cher qu’un livre papier, 26% pensent qu’il devrait coûter 30% moins cher et 17% souhaiteraient qu’il coûte 75 % moins cher. Vous êtes un très petite minorité (4%) à avoir coché la case « acheter chapitre par chapitre ».

Le marché du livre numérique est encore un marché naissant. Les modèles économiques autour de la dématérialisation du livre se cherchent encore. Cependant, je ne peux m’empêcher de faire un parallèle avec la musique et les nouvelles habitudes de consommation. Apple, avec le iPod et iTunes, a semble-t-il réussi le pari de bouleverser quelqu’un peu l’économie du disque avec le téléchargement légal depuis sa boutique iTunes d’albums à 9,99 euros (9,99 $). A titre d’information, depuis l’ouverture de l’iTunes music Store se sont 8,5 milliards de chansons qui ont été vendues. Je ne vois pas pourquoi, je continuerai à payer 20 euros un album CD dans un magasin, non vraiment pas.

Google améliore ses méthodes de numérisation des livres

captcha_bannerGoogle vient d’annoncer le rachat de reCAPTCHA, une entreprise qui offre des services de protection contre le pollupostage grâce aux fameuses images distordues. Le montant de la transaction n’a pas été dévoilé.

Google justifie cette nouvelle acquisition en expliquant vouloir utiliser les techniques de cette entreprise pour protéger ses sites contre le pollupostage et les activités frauduleuses mais surtout pour améliorer ses méthodes de numérisation de livres (Google Books) et de journaux.

Grâce à son procédé d’images de mots déformés, reCAPTCHA protège prés de 100.000 sites Web.

Source: branchez-vous.com

Prix du livre numérique: le coup de gueule

16 septembre 2009 1 commentaire

Au moment où je décide de publier un sondage sur le juste prix d’un livre numérique, voilà-t-il pas que je tombe sur cet article paru sur le blog de ePaper France relayé par Actualitte.com et qui tombe juste à point. Je ne peux qu’abonder dans le sens de l’auteur et soutenir ardemment son coup de gueule sur le prix des livres électroniques. Il y a quelque chose qui cloche, du non-sens et tout ça manque vraiment de logique.

Pour vous mettre en appétit voici un extrait de l’article:

Crédit: actualitte.com

Crédit: actualitte.com

TVA mise à part, on peut penser que les coûts de fabrication sont moindres : pas d’imprimeur à payer (papier, encre, travail de l’imprimeur), pas commission du diffuseur, du distributeur. La logistique, non nulle, est aussi bien réduite : l’aspect dématérialisé évite le transport des camions et le temps passé à livrer, puis stocker/ranger pour les libraires. Pas de pertes non plus sur le nombres d’exemplaires à éditer. Une partie de la presse pourrait également recevoir une version électronique, plutôt qu’un exemplaire papier qui nécessite coût du livre et expédition postale.

Par ailleurs, avec l’achat d’un livre papier, on devient “propriétaire” de son exemplaire. On peut le prêter, le revendre (pour pouvoir lire à nouveau à moindre frais par exemple), ce qui n’est pas le cas de l’ebook. Cet argument ne justifierait-il pas à lui seul, un prix inférieur à la version papier ?

LIRE L’ARTICLE AU COMPLET

Suite à vos nombreuses réactions sur twitter, je publie pour mémoire, la répartition des coûts d’un livre papier sous forme d’un graphisme simple (source: syndicat national du livre). Vous constaterez que la grosse part du gâteau va à la distribution. Pas besoin d’être un grand gestionnaire pour calculer le coût dans la distribution sur une plateforme numérique: pas de transport, pas de gestion de stock, pas de gestion d’invendus, etc…faîtes le calcul vous-mêmes.

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Les consommateurs ne veulent pas mettre plus de 100 $ dans un lecteur

Je n’ai pas la prétention d’affirmer que les petits sondages hebdomadaires que j’ai décidé de mettre en place toutes les semaines avec une question spécifique sur l’édition numérique ont une valeur scientifique. Ils seront sans nul doute le reflet d’une tendance.

Actuellement, les readers vendent en moyenne 300 $

Actuellement, les readers se vendent en moyenne 300 $

Le premier sondage de la semaine dernière portait sur le prix que vous seriez prêt à investir pour vous porter acquéreur d’un lecteur de livres électroniques. A 41 % vous avez répondu que vous n’investiriez pas plus de 100 $ dans un Reader, 35 % d’entre vous sont prêts à mettre 200 $, enfin 24 % sont prêts à investir plus de 200 %

Bref, il semble que pour une majorité écrasante, le seuil psychologique se situe en dessous de la barre des 200 $. Loin de la réalité du marché actuel puisqu’en moyenne les Readers se détaillent autour des 300 $. On parle de 800 $, lorsqu’on évoque le prix de la future tablette tactile d’Apple qui devrait sortir d’ici la fin de l’année.

Mais gageons que très rapidement, la réalité d’un marché qui est encore naissant rejoindra la réalité du consommateur. D’ailleurs, nous vous apprenions la semaine dernière que c’était dans les intentions du fabricant Asus de casser les prix du marché en sortant un lecteur de livres numériques bon marché.

A suivre…

Premières assises internationales du livre électronique

10 septembre 2009 3 commentaires

Image 2À l’heure où certains États américains prennent la décision de délaisser les manuels scolaires au profit des livres et du papier électroniques, l’Université du Québec à Montréal accueillera, les 30 septembre et 1er octobre, le premier salon professionnel au Canada à explorer la question de cette transition dans le secteur de l’édition comme dans celui de la presse, de l’affichage ou du cellulaire/portable et des médias, en compagnie de spécialistes universitaires et de professionnels. L’événement, qui aura lieu au foyer de la salle Marie-Gérin-Lajoie du pavillon Judith-Jasmin (J-M400), 405, rue Sainte-Catherine Est, est organisé par la société EPC@partners, dont le fondateur, Éric Le Ray, est chercheur associé au Laboratoire de communautique appliquée de l’UQAM.

Ce salon professionnel sera présenté sous forme de kiosques, de tables rondes et de conférences individuelles. Les organisations ou sociétés qui souhaitent devenir partenaires de l’événement peuvent le faire. Un grand nombre de partenaires sont déjà inscrits au salon où ils présenteront leurs produits ou leurs services et rencontreront les visiteurs. La révolution de la numérisation, des supports interactifs, du papier et du livre électronique sera mise à la portée des participants.

Voici quelques-uns des partenaires déjà impliqués : la Chaire en droit de la sécurité et des affaires électroniques de l’Université de Montréal, la Chaire UNESCO-BELL en communication et développement international à l’UQAM, la Corporation des bibliothécaires du Québec, De Marque, l’ANEL, Druide, la Fédération professionnelle des journalistes du Québec, la Fondation Paul Gérin-Lajoie, Les Presses de l’Université du Québec, les PUM et les PUL, Lien multimédia, Rue Frontenac (CSN), Telbec, Transmédia-Transcontinental, Xerox.

Archambault montrera son nouveau site internet JeLis.ca qui apparaît déjà, au moment de son lancement, comme le principal site Internet francophone d’Amérique du Nord avec ses 20 000 titres en ligne, et 50 000 prévus pour la fin de l’année. Sony présentera ses nouveaux lecteurs PRS 300 et PRS 600, Bookeen fera connaître son lecteur Opus alors que Nemoptic parlera de son prochain lecteur Sylen à cristaux liquides.

Prix remis pendant le salon
À l’occasion du salon, pour encourager l’innovation, seront remis, suite à un sondage parmi les visiteurs, trois prix de l’innovation :

  • un prix du meilleur lecteur électronique intelligent;
  • un prix du meilleur logiciel;
  • un prix de la société qui offre la meilleure solution numérique intelligente pour l’industrie de la presse, de l’édition et des médias.

POUR CONSULTER LE PROGRAMME

ebook : les éditeurs ont-ils de bonnes raisons de trembler ?

Le New York Times a déjà recruté 25000 abonnés avec le lecteur Kindle 2 d'Amazon

Le New York Times a déjà recruté 25000 abonnés avec le lecteur Kindle 2 d'Amazon

Le 1er septembre dernier, une des journalistes vedettes de la radio de Radio-Canada, à Montréal, Christiane Charette a consacré une émission entière sur le livre électronique en présence, entre autres, d’un des plus célèbres écrivains québécois, Michel Tremblay et de Bruno Guglieilminetti. Les deux invités sont venus sur le plateau avec leur lecteur de livre électronique respectif et ont échangé pendant une bonne dizaine de minutes sur la question.

ÉCOUTER L’ÉMISSION

Suite à cette émission dont je vous laisse le soin d’apprécier par vous-même la pertinence des propos des intervenants qui sont malgré tout restés très en surface sur le sujet – parfois on a quand même le sentiment d’être devant des gamins qui viennent de découvrir de nouveaux jouets – le journaliste Mazz a réagi sur son blog avec plus de maturité et surtout sans mâcher ses mots.

« L’industrie du livre va vivre dans les quelques prochaines années une révolution aussi importante que ne le fut l’invention de Gutenberg » écrit-il. Il ajoute « Je comprend pourquoi les éditeurs tremblent! On ne parle pas d’un petit changement, mais d’une désintermédiation de la chaîne de valeur de l’industrie de la publication« .

LIRE L’ARTICLE AU COMPLET DE MAZZ

Google a faim de livres numériques ! oui, mais…

AP20700737_000001Google n’y va pas avec le dos de la cuillère est affiche clairement ses intentions : créer la plus grande bibliothèque du monde via son service de recherche de livres en se lançant dans un vaste projet de numérisation. Sauf que Google est moins gentil que l’ogre Shreck et il faut parfois freiner ses grands élans de grandeur.

LeMonde.fr rappelle dans un article paru tout récemment que Google a déjà obtenu l’accord des auteurs et éditeurs Américains pour vendre des livres numérisés en cours de distribution en reversant 63 % des bénéfices aux ayants droits. En Europe, les choses se compliquent un peu. Le moteur de recherche s’est fait renvoyer dans les cordes et a du faire une première concession : il ne pourra pas vendre des livres  numérisés aux États-Unis toujours distribué en Europe sans « l’autorisation expresse des ayants droits ».

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Un lecteur de livrel à moins de 200 $

8 septembre 2009 1 commentaire
Asus, le fabricant du netbook EeePc veut casser les prix sur le marché des lecteurs de livrel

Asus, le fabricant du netbook EeePc veut casser les prix sur le marché des lecteurs de livrel

La nouvelle semble vouloir se confirmer. D’après un récent article paru sur le site mobinaute, Asus, le fabricant taïwanais des netbooks EeePC a bel et bien l’intention de lancer sur le marché un lecteur de livres électroniques à prix cassé.

Asus mettrait donc sur le marché 2 types de lecteur : un haut de gamme à deux écrans et un autre doté d’un écran de 5 à 6 pouces exploitant de l’encre électronique, autrement dit, ne consommant de l’énergie que lorsque les pages sont rafraîchies. Le prix de ce lecteur ne devrait pas dépasser les 110 euros (170 $). À titre d’information, actuellement, les lecteurs d’entrée de gamme se détaillent autour de 200 euros (350 $)

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Ni un livrel/ebook, ni un livre audio : alors c’est quoi un hyperlivre ?

7 septembre 2009 2 commentaires

Ce n’est pas un livre audio, ce n’est pas un livre numérique…c’est un hyperlivre. On nous promet dans cette vidéo quelque peu racoleuse que l’hyperlivre va nous transporter dans une véritable 4e dimension et va nous faire vivre une nouvelle expérience de lecture enrichie.

Le tout sera dévoilé le 9 septembre à 9h30

CLIQUEZ CI DESSOUS POUR VOIR LA VIDÉO

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